Le mariage n’est pas simplement un engagement amoureux. C’est une institution légale dont la réussite et l’échec peuvent entrainer plusieurs démarches administratives. Mais pour aider en ce sens, on peut compter sur un http://www.avamagassa-avocat.com
Chaque année, on enregistre plusieurs centaines de milliers de couples qui se disent oui en présence de témoin et de l’OPJ.
Et malheureusement, presque la moitié engage une procédure de divorce dans les deux années qui s’en suivent. Partage des biens, démarches légales, les droits de garde, etc. : un divorce n’est pas facile à faire, et encore moins à gagner.
Bien choisir sa procédure de divorce
On a le choix entre plusieurs procédures de divorce. La plupart des démarches consistent à demander un divorce pour faute.
C’est la plus reconnue, mais aussi celle qui coute le plus cher aux deux parties. En plus d’être longue, elle nécessite des procès de longue haleine et la fourniture de la preuve de l’autre partie. Le but d’une telle démarche n’est pas simplement d’obtenir l’annulation du mariage.
Il s’agit de négocier un dommage et intérêts pour la compensation des préjudices physiques ou moraux subits. Mais pour les quelques couples, qui décident d’un commun accord de rompre leur lien de mariage, l’État a facilité les choses.
Il est désormais possible de faire un divorce par consentement. L’acte est alors enregistré auprès d’un notaire, sous peine de quelques frais d’enregistrement. Plus rapide et moins compliqué, pour ce genre de procédure, un seul avocat est amplement suffisant.
Tout se règle en amont à l’amiable : pourquoi ?
Généralement, que ce soit dans un cas de divorce ou non, les avocats privilégient toujours la négociation à l’amiable.
Et pour cause, cela permet de gagner du temps et de l’argent en procédure civile. Dans le cas de divorce, une conciliation à huis clos est toujours de rigueur. Il ne s’agit pas simplement d’un caprice des représentants de chacun.
Il en va du bien-être principal des enfants. Sans compter que chaque demande de divorce qui atterrit sur le bureau d’un juge commence par une conciliation afin de voir si le couple n’est plus disposé à vivre en ensemble. Une signature d’un contrat de divorce à l’amiable, moyennant ou non le payement de dommage intérêt, vaut acceptation.
Dans le cas du non-respect des termes de l’engagement, il est toujours possible de porter l’affaire auprès d’un juge. Dans un cas comme dans l’autre, le bien parlé et le savoir-faire d’un avocat seront de mise.